OM : revivez le live texte de la conférence de presse de Rongier et Tudor

Rongier sur les supporters : "Ils ont été fantastiques toute la saison. Merci, c'est trop peu. On est hyper content du soutien toute la saison. On est frustré parce qu'on a pas réussi à leur rendre en fin de saison. Mais merci à tous ceux qui nous suivent. Ils nous ont soutenu même quand ça allait moins bien donc 10 sur 10."

Rongier sur le ressenti du style de jeu : "J'ai pas pris de plaisir pendant les séances d'entraînements où il fallait courir encore et encore parce qu'on est des fainéants, on n'aime pas ça. Mais le but c'est d'être prêt en match. Le plaisir, on le prend dans la victoire. C'était dur mais on a gagné beaucoup de matchs et le plaisir était là"

Rongier : "Le stage en Angleterre c'était difficile car il a imposé son style pour montrer qu'il était le boss. Le match d'Annecy a laissé beaucoup de traces. Un gros échec. Le match contre Paris en Coupe c'était le meilleur moment de la saison"

Rongier : "Un coach fait ses entraînements en fonction de sa manière de jouer. Les matchs sont encore plus intenses que les entraînements donc il faut être prêt. La meilleure équipe du monde c'est City. Une équipe qui garde le ballon comme on le faisait avec Sampaoli mais qui est capable de verticalité."

Rongier sur Payet, Guendouzi : "On le verra pendant le mercato. L'avenir n'est peut-être pas le même pour certains joueurs. Mais on verra par la suite"

Rongier : "Je me suis fait infiltré le tendon hier car je souffre depuis 2 ans mais rien de grave"

Rongier sur l'adaptation : "Cela dépend de la méthode qui arrive. La méthode du coach Tudor était compliqué physiquement mais simple à appliquer. Beaucoup de marquage individuel. Pas comme avec Sampaoli ou on avait complétement changer notre façon de jouer. On a pas le choix de s'adapter, c'est le haut niveau.

Rongier : "Le foot moderne ne laisse pas beaucoup de temps au coach de par l'exigence des résultats et la pression des supporters. Ici, on est à Marseille. C'est difficile d'être joueur à Marseille en terme de pression. Pour un coach, c'est encore plus. Quand ça va mal, on est accablé. Je ne remets pas en cause l'instabilité du club"