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Comment le choix de l'OM s'est porté sur Longoria
SaisonPublié le 26/07 à 07:37

Comment le choix de l'OM s'est porté sur Longoria

La revue de presse du jour, en ce dimanche 26 juillet 2020.

AVB juge Khaoui latéral gauche
Après la défaite de l'OM contre le FC Dac (2-1), André Villas-Boas a pris le temps d'évoquer le repositionnement de Saîf Khaoui au poste de latéral gauche : "On a commencé à penser à cette possibilité en janvier dernier, pour le déplacement à Toulouse en coupe de France. On n'avait pas Amavi. On l'a testé, mais il s'est blessé et on a plutôt mis Bouna Sarr à gauche en première période, puis Sakai en seconde. Il commence à prendre bien la position. Il est intéressant. Il semble connaître le poste, il centre bien. Il doit améliorer le travail défensif mais il a été bien". Retrouvez toutes les informations régionales dans La Provence.

Comment le choix de l'OM s'est porté sur Longoria
Si ce n'est pas encore officiel, Pablo Longoria devrait être le nouveau directeur du football à l'OM. Le dossier pourrait aboutir dans quelques jours, une fois l'arbitrage de Frank McCourt effectué. Longoria a été auditionné à deux reprises en mai par le cabinet de chasseurs de têtes CAA. Il n'était pas dans la short-list mais le dossier a été repris activement par Jacques-Henri Eyraud début juillet, après des recherches plus complexes que prévues. Pep Segura (Barcelone), Steve Hitchen (Tottenham) et Olivier Pickeu (Angers) étaient également envisagés. Pour sa part, Longoria avait candidaté à Monaco l'hiver dernier, rencontrant plusieurs fois le directeur sportif de l'ASM, Oleg Petrov. Il était sur les tablettes du groupe RedBull et du Bétis Séville. Retrouvez toutes les informations sportives dans L'Equipe.

Poulmaire pas tendre avec Eyraud et McCourt ?
Interrogé sur les motivations des investisseurs américains à débarquer en Ligue 1, Didier Poulmaire, avocat qui était à l'origine de l'intérêt de Frank McCourt pour l'OM, a livré une analyse sans concession, qui doit peut-être faire siffler les oreilles du propriétaire du club mais aussi celle de son président, Jacques-Henri Eyraud : "Les investisseurs américains repèrent les clubs avec une zone de chalandise importante et une marque à développer. Ce sont des gens pragmatiques, fascinés par le football en tant que sport global. Mais ils ne mesurent pas toujours le décalage entre leur environnement et le nôtre, très associatif. A tort ou à raison, ils ont la conviction que les clubs français ne sont pas managés par des professionnels mais par des hommes de terroir. Qu'ils suffit de mettre des spécialistes du merchandising ou du remplissage de stade pour que ça parte". Retrouvez l'intégralité de l'article et d'autres informations dans les colonnes du Journal Du Dimanche.