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OM : Harit et Ounahi ciblés par les critiques
Autour de l'OMPublié le 06/04 à 17:05

OM : Harit et Ounahi ciblés par les critiques

Après la nouvelle défaite de l'OM ce vendredi soir, les critiques ont plu sur les joueurs olympiens. Le journaliste de RMC Sport Daniel Riolo n'a pas hésité à tacler quelques internationaux de l'effectif.

À Lille vendredi soir, l'Olympique de Marseille a montré un niveau bien en deçà de ce que demande une rencontre d'une telle importance. Daniel Riolo, dans l'émission After Foot, a été très critique envers plusieurs aspects de la gestion de l'équipe par Jean-Louis Gasset.

Riolo inquiet pour le match contre Benfica

Malheureusement, il n'y avait guère de motifs de satisfaction du côté de l'OM lors de leur déplacement sur la pelouse de Pierre Mauroy pour le match d'ouverture de la 28ème journée de Ligue 1 (3-1). Avec la possibilité  de maintenir leurs espoirs d'atteindre le Top 4, cette défaite a anéanti toutes les ambitions du club. "Quand tu les vois jouer ainsi, tu te dis que l'espoir de voir le Benfica est bien mince. C'est le niveau Conference League, tout au mieux", a déclaré Daniel Riolo sur les ondes de RMC.

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Harit et Ounahi pris pour cibles

Tout comme Jean-Louis Gasset, l'analyse de l'éditorialiste est que les blessures ne suffisent pas à justifier les performances alarmantes de l'OM ces derniers temps. Daniel Riolo a particulièrement pointé du doigt Amine Harit et Azzedine Ounahi.

On me dit qu’il y a des absents. Oui, je pense que Clauss manque évidemment à droite pour sa qualité, a reconnu le journaliste. Kondogbia ne joue pas, il met Gueye et il y a une grosse différence. Et après, tu as les joueurs qui sont censés apporter la touche technique à l’OM : Ounahi, c’est terminé. Tu ne peux plus faire confiance. Qui espère encore quoi que ce soit ? Il est cuit, cramé… Et l’autre, Harit. Il passe souvent à travers les critiques. Tu te raccroches un peu à lui, car il est un peu plus technique que les autres. Mais là ce soir, le deuxième but il est pour sa gueule. Ce qu’il fait, c’est inadmissible. Je suis un entraîneur, je pète un câble