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Jérôme Leroy jure avoir mis son plus beau but à l'OM !
SaisonPublié le 02/04 à 08:42

Jérôme Leroy jure avoir mis son plus beau but à l'OM !

Arrivé à l'OM en janvier 2000, Jérôme Leroy est reparti au PSG en janvier 2002. Entre-temps, ce pur produit du club ennemi a probablement été le meilleur olympien sur la période, ce qui fait qu'il a toujours été apprécié, malgré tout, à Marseille. Notamment après le OM-PSG gagné 4-1 quelques mois après sa signature où il avait lancé les hostilités en... se battant avec son homonyme Laurent Leroy. L'arbitre les expulsa tous les deux. 

Jérôme Leroy a souvent marqué contre l'OM. A ses débuts au PSG en 1997, à son retour dans le club de la Capitale, avec un doublé au Vélodrome en 2003 avec Ronaldinho qui coupe l'élan d'une équipe phocéenne alors en tête du championnat, avec Sochaux en 2007, avec qui il jouera également un mauvais tour aux Marseillais en finale de la Coupe de France quelques semaines plus tard, avec Rennes en 2009 et enfin avec Evian en 2012 où il inscrira un nouveau doublé, plongeant la formation de Deschamps dans une longue série de défaites. 

Mais pour le clin d'oeil, le milieu de terrain retient donc le but qu'il a marqué à Sedan. Qui permet selon lui à l'OM de se maintenir en Ligue 1. Selon lui, car ce n'est pas exactement ça. Effectivement, sur la saison 1999/2000, l'OM termine 15e et premier non relégable, avec le même nombre de points que Nancy, juste derrière au classement, et un goal-average supérieur d'un but. En cas de défaite dans les Ardennes pour la dernière journée, l'équipe entraînée par Bernard Casoni serait donc descendue en Ligue 2. Mais à aucun moment les Olympiens ne se sont trouvés en dessous de la ligne de flottaison. Car si les Sedanais avaient ouvert le score, Leroy égalisant juste avant la pause, les victoires de Nancy, Rennes et Nantes (condition sine qua non pour voir l'OM se retrouver 16e) ne s'étaient pas encore dessinées. En seconde période, Ibrahima Bakayoko permettra même aux Phocéens de mener avant de se faire rejoindre dans le temps additionnel. Pour s'offrir donc un dernier frisson anecdotique car le Nancy-Auxerre (2-0)  avait déjà rendu son verdict.