Tu as été fauché en plein vol alors que tu étais bien au moment du match de Clermont. Cela a pris plus de temps que prévu pour te voir retrouver le chemin des terrains. Comment as-tu géré tout ça ? Dans quel état es-tu aujourd’hui ?
S.G : "Cela a été un petit peu compliqué. C’est un accident, ça arrive dans le sport. C’était une grosse entorse au final alors qu’on pensait que c’était une petite entorse. J’avais pas mal de douleurs même lors du dernier match. Ça va de mieux en mieux. Je suis à 100%."
As-tu ressenti une frustration de ne pas avoir pu aider ton équipe dans cette période plus difficile ?
S.G : "Oui c’était rageant de ne pas pouvoir aider l’équipe puisqu’ils y avaient des matchs très importants. On gagne ensemble, on perd ensemble. Cela fait partie malheureusement d’une saison et à nous de rebondir en prenant les trois points dimanche."
Quand on te voit sortir contre Clermont, beaucoup craignent le pire. As-tu redouté que ce soit très grave à un moment ? Quelles ont été tes sensations contre Strasbourg ?
S.G : "C’était plus de peur que de mal au final. J’avais senti un craquement au-dessus de la cheville, je n’avais pas senti la cheville au début. Quand je suis rentré au vestiaire, j’ai senti ma cheville donc j’étais rassuré. Par rapport au match de Strasbourg, c’était un bonheur de pouvoir rejouer au Stade Vélodrome. Revenir dans ce stade avec nos supporters qui sont fantastiques. On était très déçu de la fin de match et du résultat."
Dimanche, en l’absence de Balerdi et Kolasinac, vous devriez jouer avec Bailly. Ce que vous avez peu fait cette saison. En quoi ça va impacter la complémentarité nécessaire dans ce trio défensif ? Est-ce que votre manque de rythme à tous les deux va avoir un impact sur vos prestations ?
S.G : "Avec Eric (Bailly), on n’a pas beaucoup joué, mais on s’entend très bien. Comme avec tous les autres défenseurs. On le travaille à l’entraînement. Par rapport au manque de rythme, on a bien travaillé donc on est prêt."