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Sakai : "J'aimerais bien rester"
SaisonPublié le 24/02 à 07:54

Sakai : "J'aimerais bien rester"

La revue de presse du jour, en ce samedi 24 février 2018.

Le pari de Sakai 
Le latéral droit marseillais Hiroki Sakai s'est longuement confié dans un entretien au quotidien régional. Il revient sur sa première année et demie dans la cité phocéenne, où il se voit bien poursuivre l'aventure encore quelques années : "Tant que le club a besoin de moi, j'aimerais bien rester. Mais je sais que cela dépendra de mes performances." L'international japonais explique qu'avant de jouer en défense, il évoluait  un cran plus haut : "Jusqu'à l'âge de douze ans, j'étais plutôt attaquant. Mais quand je suis rentré à l'académie (le centre de formation), il y avait beaucoup d'autres bons joueurs. J'ai reculé progressivement, cela m'a permis de faire carrière." Enfin, un de ses proches lui rappelle un pari qu'il avait fait il y a quelques mois : "Un pari, je ne m'en rappelle pas. Si c'était il y a six mois, oui. J'avais parié que si on battait le PSG, on plongerait dans la mer". Espérons voir Sakai se jeter à l'eau dès lundi. Retrouvez un dossier sur le choc PSG-OM ainsi que toute l'actualité régionale dans La Provence.

Sanson : " Je n'ai pas le droit de me relâcher"
Le milieu de terrain olympien Morgan Sanson évoque sa concurrence avec Dimitri Payet au coeur du jeu de l'OM. "Cela met-il une pression ? Oui. Ce n'est pas un frein à notre entente, nous sommes complémentaires dans nos déplacements, sur le plan technique. Depuis que j'évolue à ce poste, je suis plus efficace dans mes courses sans ballon, j'ai mis plus de buts, mais... la place du capitaine... pas simple. Je n'ai pas le droit de me relâcher." Retrouvez un dossier sur le Classique PSG-OM ainsi que toute l'actualité sportive dans L'Équipe.

Leroy : "On ne m'achète pas avec des sentiments
Jérôme Leroy
, qui a évolué à l'OM et au PSG, revient sur ses souvenirs de Clasiques. Il aborde notamment le match au Parc en novembre 1997, où il évoluait sous les couleurs parisiennes, avec le pénalty sur Fabrizio Ravanelli : "Je pense qu'il y avait bien pénalty. Aujourd'hui on a des dizaines de ralentis qui décortiquent au millième de seconde. On aurait vu que Ravanelli avait été légèrement effleuré." Passé dans le camp d'en face quelques années plus tard, il se remémore son expulsion au Vélodrome en février 2000 après un accrochage avec Laurent Leroy : "Ce n'est pas parce que c'était le PSG en face que j'allais être gentil. J'en connais plein qui sont tout doux quand ils affrontent leur ancien club. Moi, on ne m'achète pas avec des sentiments." Retrouvez toute l'actualité nationale dans Le Parisien / Aujourd'hui en France.